lundi 3 février 2020

Les maladies respiratoires sous la loupe de la Polarité


Ce n’est pas la première fois que la planète est aux prises avec une épidémie touchant le système respiratoire. En 1997 apparaissaient la grippe aviaire à Hong Kong, le SRAS en Chine en 2002 et le H1N1 en 2009. Et nous pourrions évoquer de multiples autres épidémies respiratoires dans l’histoire récente de l’humanité dont la grippe espagnole de 1918 (curieusement d’origine chinoise elle aussi).

En polarité, les énergies qui gouvernent le système respiratoire (bronches, poumons et peau) sont l’Air et la Terre.

L’énergie de l’Air est responsable de notre relation harmonieuse à l’environnement et l’air que nous respirons est la première de ces relations et la plus vitale. L’insatisfaction, le désir et l’envie se présentent quand cette énergie est déséquilibrée.

L’énergie de la Terre véhicule le courage, la valeur personnelle et la notion de territoire. En déséquilibre, la Terre nous plonge dans nos peurs, nos insécurités, dans la survie et dans la perte ou la limitation de notre territoire.

Notre territoire ultime c’est nous-mêmes. Est-ce que nous le reconnaissons vraiment ? Est-ce que nous avons toute la latitude pour affirmer l’indépendance et l’autonomie de ce territoire ? Est-ce que nous le sentons menacé ? La réponse à ces questions déterminera si nous sommes vulnérables à développer des problèmes respiratoires ou non.

Par exemple, 1997 était l’année de la rétrocession de Hong-Kong à la Chine après 100 ans de protectorat britannique, ce qui a pu faire en sorte que plusieurs personnes se soient senties menacées dans leur territoire. Il n’est pas étonnant que les chinois soient le peuple le plus susceptible de développer des maladies respiratoires. Bien sûr, nous pourrions parler d’un manque d’hygiène, de l’air ultra pollué des villes, de marchés d’animaux vivants, de contamination de la viande et du poisson, mais la réalité est que le peuple chinois est tellement contrôlé, surveillé, épié jusque dans sa chambre à coucher, que l’individu n’a plus aucun pouvoir ni autonomie. Il n’a pas de territoire personnel et cette perte de territoire affectera en premier lieu les personnes déjà affaiblies dont l’autonomie est encore plus réduite. Quant à la relation à l’environnement, elle ne se fait qu’à sens unique car l’individu est écarté au profit de la nation.

Plus près de nous, nous pourrions penser aux personnes âgées qui très souvent, décèdent de complications pulmonaires. Ces personnes sont passées d’une grande maison ou appartement, entourées de leur famille, à un petit logement dans une résidence autonome ou semi-autonome, à un lit dans une chambre de centre de soin de longue durée (lire : un mouroir) ou à l’hôpital. Leur territoire se réduisant alors de plus en plus ainsi que leur relation à l’environnement qui devient elle-aussi peu à peu à sens unique.

Bien sûr, dans une situation d’épidémie comme l’actuelle crise du Coronavirus, les médias distillent la peur, ce qui fragilise encore plus les individus déjà affaiblis et n’oublions pas l’industrie pharmaceutique qui va se faire un plaisir de vendre des millions de doses d’un vaccin élaboré en urgence. On a qu’à penser au pétard mouillé que fut la crise du H1N1 dont nous avons fait les frais financiers quand nos gouvernements ont dépensé des millions pour d’inutiles vaccins qu’ils ont finalement dû jeter à la poubelle.

Maintenant, comment se prémunir des problèmes respiratoires dans la vie courante ? Premièrement, il faut s’assurer d’être le plus satisfaits possible des choix de vie que nous faisons, ce qui déterminera une relation harmonieuse avec l’environnement. Deuxièmement, nous devons affirmer notre territoire en reconnaissant notre valeur personnelle et en développant le courage de sortir des peurs et de la survie associées à la Terre. La réalité étant que sauf pour la grippe espagnole, ces dites épidémies ne tuent pas plus de gens que la grippe ordinaire qui elle, ne sélectionne que les personnes déjà faibles, malades et diminuées.


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